En octobre 1982, Henri Sauguet compose ces Quelques trilles pour les Treilles qu'il dédie à Madame Grunner-Schlumberger, en témoignage de sa reconnaissance. Cette page renvoie une sorte d'écho bucolique à l'atmosphère de sa propriété girondine des Treilles, dont Sauguet semble avoir gardé un souvenir émerveillé.