Nouvelles formes, modulations bien choisises, timbres étranges, l'utilisation de rythmes totalement inattendues ', c'est comment Camille Saint-Saëns loué le premier travail d'un jeune collègue, la première sonate de violon de Gabriel Fauré (1845-1924), dans le Journal de Musique de Paris / Violoncelle Et Piano