Partant de deux haïkus japonais, Robert PASCAL installe les voix dans un climat discret, léger, fragile. Les mélodies passent d'un choeur à l'autre avec la délicatesse d'un papillon 'changeant de place à chaque brise'. Cette musique toute en finesse et en nuances conduit peu à peu les voix jusqu'au silence qui prolonge l'écho du chant commun. Une pièce maîtresse du répertoire mômeludies. / Percussions