A l'origine, une petite mélodie toute simple : jouées par le violoncelle, quatre notes, ou deux, en quelque sorte déjà en miroir d'elles-mêmes. Et une aura : la voix de l'instrumentiste, comme une résonance rêveuse.Un dialogue se noue, parfois âpre, souvent buissonnier, qui commence, amplifie, distord éventuellement, tour à tour explicite et discursif, ou sinueux et onirique, la petite figure originelle Apaisée, la fin ne conclut pas vraiment, semblant préluder à une musique après la musique... / Violoncelle