Un prélude en forme sonate qui déroule ses arabesques en sol mineur, cherchant sans fin à concilier harmonie et contrepoint qui jouent à cache-cache, se poursuivent et se retrouvent tour à tour. Un mouvement perpétuel qui oscille entre l'aigu et le grave, le clair et le sombre, le mineur et le majeur, jusqu'à retrouver la quiétude de la source. / Basson