Par HILPIPRE GERARD.
Une miniature virtuose pour orchestre d’harmonie, inspirée de liesses estivales, en guise d’ouverture de concert
Le titre de ce poème symphonique n’est autre que la devise du philosophe Friedrich Nietzsche, qui passa chaque été en Haute-Engadine durant bien des années. Le choix de ce titre renvoie au contenu musical de la partition, qui tente de créer chez l’auditeur les mêmes impressions qu’une journée passée en haute montagne : sentiment de vastes espaces, de grandeur, d’exaltation et de jubilation, et enfin de plénitude apaisée. La partition se présente comme une fresque haute en couleurs, où le potentiel sonore et expressif de l’orchestre d’harmonie est utilisé à plein. / Niveau : (6/8) Assez difficile / Contemporain / Répertoire / Orchestre D'Harmonie
