170 X 250 inches. English(US)/Deutsch/Francais/Nederlands.
Johan de Meijs third symphony, Planet Earth, unmistakeably marksa new peak in his large musical output. The symphonic version waspremiered in 2006 and has now been arranged for wind orchestra by the composer.Planet Earth is an impressive ode to Mother Earth. De Meij has pulled out all stops to sing the earth's praises in a heartrending manner. Splendid melodies, intense intermezzi, surprising sound patterns and noises/sounds from another world create a breathtaking musical experience with an amazing climax.A thrilling and rousing symphony!
De derde symfonie van Johan de Meij, Planet Earth, is een nieuw hoogtepunt in zijn omvangrijke oeuvre. De premiere van de versie voor symfonieorkest werd in 2006 uitgevoerd en kreeg lovende kritieken. Er is ook een bewerkingvoor harmonieorkest, gemaakt door de componist zelf. Zijn indrukwekkende lofzang op de aarde bestaat uit drie delen: Lonely Planet, Planet Earth en Mother Earth. Verrassende gesampelde geluiden, schitterende melodieen,heftige intermezzi en een grootse finale waarin alle registers worden opengetrokken - prachtig en meeslepend.
Planet Earth ist eine eindrucksvolle Ode an Mutter Erde. De Meij zieht alle Register, um der Erde auf herzergreifende Weise einen Lobgesang darzubringen. Prachtige Melodien, heftige Intermezzi, uberraschende Klangmuster und Laute, die nicht von dieser Welt sind, gereichen zu einem atemberaubenden Musikerlebnis mit einem gigantischen Hohepunkt. Eine mitreissende Sinfonie!
Ma premiere symphonie The Lord of the Rings [Le Seigneur des Anneaux] est basee sur la trame de la trilogie du meme nom de J. R. R. Tolkien. Ma deuxieme symphonie, The Big Apple ("La Grosse Pomme"), est une ode a New York et a ses nombreuses facettes. Ma Symphonie ndeg 3 est aussi une ode dediee, non pas a une ville ou a une region en particulier, mais a la terre entiere, a sa fascinante apparence et beaute. Le titre Planet Earth (Planete Terre) fait reference aux celebres Planetes (The Planets) de Gustav Holst, une suite qui depeint l'ensemble des planetes a l'exception de la Terre. Planet Earth reprend precisement la ou Gustav Holsts'etait arrete, au sens propre comme au sens figure. Si Les Planetes se terminent par un ch?ur de femmes a six voix et grand orchestre, l'instrumentation du debut du premier mouvement de ma composition (Lonely Planet - "La planete solitaire") s'inscrit dans la meme veine. Mais la comparaison s'arrete la. J'ai egalement emprunte du materiel d'une de mes ?uvres anterieures, Continental Overture (1995), qui est en quelque sorte une premiere esquisse de cette symphonie. Dans le mouvement d'ouverture, la planete solitaire se devoile a travers le Big Bang, prodigieuse explosion qui nous propulse dans l'immensite de l'Univers. Cometes et planetes tournent autour de nos tetes et nous frolent dans un enchainement sonore diffuse par des enceintes placees sur scene.Les sons numeriques (samples) servent de lien entre les trois mouvements de la composition, une technique deja utilisee precedemment dans la symphonie The Big Apple (sons urbains). Dans le mouvement central (Planet Earth), les sons cosmiques sont remplaces par l'image bucolique d'un vol d'oiseaux au-dessus des sublimes paysages de notre planete. Ce second mouvement temoigne aussi de l'intense energie et de la force sprirituelle que m'insuffle la vie. Le mouvement final de la symphonie est une ode a la deesse Gaia, la Terre-Mere (Mother. |