Wein, Weib und Gesang

SKU: BT.DHP-1094863-140

9x12 inches.

Der Walzerkönig“ Johann Strauss (Sohn) hinterlieĂź über 500 Werke, davon 165 Walzer, die er zu vollwertigen Konzertstücken ausarbeitete. Beim Komponieren von Wein, Weib und Gesang lieĂź er sich von einem Satz, der Martin Luther zugeschrieben wird, inspirieren: Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang“. Ein lebhafter, charmanter Konzertwalzer, der in einer feurigen Coda endet!

l’instar du Beau Danube bleu, la valse Wein, Weib und Gesang, op. 333 (Aimer, boire et chanter, 1869), a Ă©tĂ© composĂ©e, l’origine, pour le Wiener Männergesangverein (Chœur d’Hommes de Vienne). Johann Strauss s’est inspirĂ© d’une citation attribuĂ©e Martin Luther « Qui n'aime point le vin, les femmes ni le chant restera sot toute sa vie » (“Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang”).La version originale de Strauss s’ouvre avec un long passage d’ouverture de près de cent mesures (Quasi religioso, suivie d’un Allegro), très rarement jouĂ©. Cette transcription pour Orchestre d’Harmonie en est Ă©galementdĂ©pourvue, mais dĂ©bute nĂ©anmoins avec une introduction brillante (Maestoso) d’oĂą se dĂ©tache la première ligne mĂ©lodique qui revient plus tard, dans le quatrième air de valse. Le premier thème reprĂ©sente la quintessence de l’art de vivre viennois ; Strauss s’appuie sur la chanson boire StoĂź an, stoĂź an, du Liebchen mein (“Trinquons, ma bien-aimĂ©e”) extraite de son opĂ©rette Wiener Blut (Sang viennois). Les trois airs qui suivent font Ă©galement preuve de vivacitĂ© et d’élĂ©gance. Et bien entendu, comme dans toutes les autres valses de concert, le thème initial revient dans le passage de fin. Une courte cadence endiablĂ©e clĂ´t l’œuvre.